Brotherhood
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Il est né a Londres, sous le nom de famille du Baron VanLatorinne, Alice… Au tout début du commencement, mademoiselle Lianelle Dulande devint dame Lianelle VanLatorinne en épousant le Baron Lucius VanLatorinne. Ensemble, ils vécurent presque huit ans avant d’avoir leur première fille Mathias, qui mourut à la suite de maladie. Détruite et déprimée, Lianelle devint folle. Dans son esprit tourmenté, elle accusa le Baron, hurlant à qui voulait l’entendre, qu’il avait essayé de l’empoisonner et que c’était de sa faute à lui si leur fille était décédée si jeune. Ne voulant plus rien savoir de celui-ci, elle devint dépressive, jurant devant dieu quelle ne toucherais plus a un homme de sa vie. Maintenant surnommée « La folle », elle eut une relation amicale avec une femme nommée Céleste Ladouce. Le jour où Lianelle emmena sa promise chez le Baron pour montrer à ce dernier qu’elle avait refait sa vie sans lui, Céleste eut le coup de foudre pour celui-ci et lui aussi laissa son cœur battre pour l’amour de son ex femme. Rapidement, le désir de l’un grimpa pour l’autre, les conduisant dans une double vie; Lucius trompant sa nouvelle femme et Céleste trompant la vigilance de Lianelle. Bientôt, leur liaison donna naissance à un enfant.
Chapitre 2 :
Les médecins prédisait une jeune fille et donc le prénom d’Alice fût retenu. Prévue pour le 23 juillet, l’enfant naquit prématurément le 9 juillet soit, deux semaines avant la date prévue. Non seulement la date fût une surprise pour tous, mais aussi lorsqu’un petit garçon montra le bout de son nez. Adorable et doux, l’enfant fût donc nommé Alice.
Lianelle eut vent de l’existence de cet enfant et força Céleste à abandonner le pauvre Alice … Alors âgés de 8 ans, le jeune garçon n’avait qu’un seul ami et ce dernier n’existait pas… Imaginaire, l’ange Azriel était le confident et l’allier d’Alice. Lorsqu’il fut abandonné par sa mère, celui-ci perdit Azriel et une partie de son bon sens. Il grandit dans un orphelinat appelé l’Apex1. Là il connut sa première relation « amoureuse à sens unique » avec l’une des sœurs chargée de l’éducation des jeunes. Elle s’apellais Margueritte et elle était âgée de 26 ans. Adorable et généreuse, elle était toujours là pour le petit Alice. Durant un bon moment, elle remplaça Azriel, mais elle aussi mourut…Assassinée. Alice en fut plus que secoué, il perdit une autre partie de son esprit. Maintenant âgé de 13 ans et devenu anormalement bizarre, Alice fût confiné dans une chambre aménagée pour lui dans l’enceinte de l’Apex afin qu’il ne frappa aucun de ces compagnon de jeux. Le garçon, prit de sauts d’humeur et de gestes violents, passa plusieurs mois à pleurer et à frapper dans les murs sans aucunes raisons. Petit à petit, Alice commença à se construire un monde à lui. Dans son cerveau, il fit naître une école qui offrait des cours de bonheur et de théâtre. Aucune matière importante tel les mathématiques ou le français, que des cours artistiques ou irréalistes sans réelle valeur avec le monde du travail. Puis, un jour, contre toute attentes, on l’adopta.
Chapitre 3
Il s’appelait Laurent Frédéric Montraï et, Soucieux de la vie des jeunes en difficultés, il adopta Alice et le fit rebaptisé Alice Deem VanLatorinne en l’honneur de sa défunte Grand-mère. La relation que l’enfant entretenait avec son tuteur était…disons…différente des relations dites «normales et seines ». Alice battait souvent Laurent pour lui « prouver son attachement ». Mais bientôt, les marques et les hématomes2 de Monsieur Montraï se firent de plus en plus présentes autant physiquement que psychologiquement. Laurent Frédéric devint lentement un homme plus réservé et étrange qui obéissait aux ordres d’un adolescent âgé de 15 ans prénommé Alice.
Un jour cependant, Montraï « fit un homme de lui » et se leva contre Alice.
Voici son journal relatant les évènements, les conséquences et les résultats de ces actes…
Sous chapitre 3.1
26 Août d’une année X
Plus le temps passe, plus Alice devient violent. Il était tellement sage lorsque je l’ai adopté, que lui est-il arrivé? Au manoir, plus personne ne veut lui adresser la parole ou même le regarder…Le pauvre reste seul dans la salle d’arme ou le salon et il pleure a chaudes larmes discutant tout seul. Parfois, il se répond à lui-même comme à une autre personne, au point ou je me demande s’il n’est pas possédé. Serait-il possible qu’un démon ou une magie quelconque soit à l’Origine de son trouble?
Parfois, il me frappe, moi, son tuteur, moi qui lui ai tout donné, qui l’a pris sous mon aile. Quelle folie peut bien poussé un enfant de 15 ans à battre son parent? Cher journal, je suis confus…
Hier soir, il m’a dit qu’un jour, il irait vivre au milieu des contes et je ne pourrais rien n’y changer. Sait-il seulement qu’il m’effraie? Je suis confus, bientôt, je ne pourrai plus le supporter.
-Laurent Frédéric Montraï –
- 3 ans plus tard-
Cher journal,
C’est fait, je me suis levé contre Alice. Devant les yeux de la nouvelle boniche Agnès, j’ai crié sur le petit… Probablement beaucoup trop fort. Plus tard, des hommes viendront me le prendre et il sera interné à Godfather. Papa connaissait quelqu’un qui y travaillait, je sais qu’Alice y sera bien traité.
Ce que je lui ai dis je ne le regrette pas, mais sa réaction fut telle que je n’ai pas la volonté de la transcrire à l’écrit. Je me souviens lui avoir parlé du fait que ses parents avaient eut le bon sens de l’abandonner et que je n’aurais jamais dû le prendre avec moi. Et encore, je crois avoir dit des choses plus horribles encore.
Dans un autre ordre d’idées, je commence à croire lorsqu’il me dit qu’un jour il partira car à l’ouest de la forêt Longuepourpre, d’immenses fondations ont été découvertes. À cette découverte, s’ajoute le fait que j’ai souvent surpris Alice au téléphone avec un certain Monsieur Dubuc. Selon mes recherches, cet homme travaille dans la construction. Il est de plus reconnu pour ne jamais reculer devant rien lorsqu’il s’agit d’enrichir son portefeuille. La fortune mise à la disposition d’Alice étant substantielle, je n’ose imaginer ce qu’il serait capable d’en faire. Maintenant je dois cesser d’écrire, les hommes de Godfather sont arrivés… Pauvre Alice.
-Laurent Frédéric Montraï -
Chapitre 4
Agé de 18 ans, Alice fut enfermé dans une pièce individuelle munie d’un téléphone selon sa demande (étant juger comme non dangereux pour la société extérieure). Le terrain de Longuepourpre fut acheté par Alice au nom de Laurent Frédéric Deem. Bientôt, l’école fût complétée. De taille plus qu’impressionnante, Il attendit deux ans entiers pour mener son projet à terme. Il acheta Godfather sous le nom de Lucius VanBederic et bientôt, Alice fut prêt. C’est à ce moment que la « vente » fût conclue.
Lorsque tout fut prêt, Alice commença à se calmer. Bien vite il arrêta presque de frapper les murs et fit presque preuve de gentillesse froide face à l’homme sous la charge de qui il était.
Le 13 Janvier à 13hrs13, alors que tout les occupants de l’internat était en sortie spéciale dans la cours, Alice se mit à parler seul, se balançant d’en avant vers l’arrière. Dans son esprit, il entendait la voix d’un démon. Un ange déchu nommé Azriel acheta l’âme d’Alice jurant qu’il l’aiderait à réaliser son rêve. 2 ou 3 mois plus tard, Brotherhood, l’école menée par Alice Deem VanLatorinne et les contes furent préparés au cœur même du purgatoire.
Seuls les morts choisis par Alice ont le droit d’y étudier et ne peuvent en sortir.
Bienvenu…À Brotherhood…
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